Fatigue, quand tu nous prends en sursaut
LA JE VIENS DE ME RENDRE COMPTE QUE MORPHEE ME TEND SES BRAS SI FORT QUE TOUT MON CORPS EST EN TRAIN DE S'ENDORMIR AVANT L'HEURE.... habituelle.
Mes yeux se ferment automatique devant cet écran, mes paroles ne sont plus douées de sens, mon esprit s'emballent et pense davantage aux futurs rêves qu'à la réalité du moment.
J'ai eu quelques instants d'endormissents et d'assoupissements bien involontaires.... Il est donc temps de prendre au sérieux mon cycle déjà très pertubé de sommeil. Quand mes yeux se ferment en tapant ce textes, des lumière rouges et orangées entrent dans mes paupières et sans doute dans mon esprit vagabond. J'y vais, je vais essayé d'aller dormir. Et demain, est un autre jour.... morte, éteinte, cassée, je suis une sorte d'épave, là...
Je pars rejoindre mon lit.
PS : j'ai relu mon texte le matin au réveil et ne me souvenais pas de l'avoir écrit, ce devait être comme dans une sorte de transe, tant la fatigue devait être pesante !
Par Corinne | Avant | Mercredi 3 Décembre 2003, 01:56 | Après | Perso | un commentaire
Commentaires
1 - Point trop n'en fautpar LaMuche, le Jeudi 4 Décembre 2003, 10:39 Répondre à ce commentaire