Ce livre, que j'ai dévoré en une journée, m'a imposé une certaine introspection sur le sens que l'on donne au couple après un certain nombre d'années, de non-dits et d'habitude.

« Voilà la vie conjugale, une association de tueurs qui s'en prennent aux autres avant de s'en prendre à eux, un long chemin vers la mort qui laisse des cadavres sur la route. Lorsque vous voyez une femme et un homme devant le maire, demandez-vous lequel des deux sera l'assassin. »

 

         

Eric-Emmanuel Schmitt a également publié une trilogie philosophique sur

  • le Christianisme (Lettres d'un enfant malade à Dieu),
  • le Bouddhisme (Simon fait chaque nuit le même rêve dont une femme énigmatique lui livre la clef : il est la réincarnation de l'oncle de Milarepa, le célèbre ermite tibétain du XIème siècle qui vouait à son neveu une haine inexpiable)
  • et l'Islam (À Paris, dans les années soixante, Momo, un petit garçon juif de 12 ans, devient l'ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l'épicier, n'est pas arabe, la rue Bleue n'est pas bleue et l'enfant n'est peut-être pas juif.)

Je les ai tous lu avec plaisir, émotion et ils ont suscité en moi beaucoup de réflexion sur la "croyance en..."

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